12 mécanismes invisibles qui dirigent votre vie

• Le pilote automatique émotionnel
  Réagir immédiatement (colère, repli, justification, séduction excessive…) sans avoir conscience que c’est un programme ancien qui s’active.
• Les croyances de base
  « Je ne suis pas assez », « Il faut que je sois parfait pour être aimé », « Si je dis non, on m’abandonnera », « Le monde est dangereux »… Ces phrases inconscientes pilotent 90 % de nos choix.
• Le système de protection enfant
  Les stratégies qu’on a développées petit pour survivre émotionnellement : plaire, performer, disparaître, contrôler, attaquer, intellectualiser, etc.

• La peur du vide / du rejet / de l’abandon
  Source principale du surcontrôle, de la suractivité, du perfectionnisme ou au contraire de la procrastination et du sabotage.
• Le juge intérieur (ou surmoi tyrannique)
  Cette voix qui critique en permanence et qui crée culpabilité, honte et auto-exigence démesurée.
• Le mécanisme de projection
  Voir chez les autres ce qu’on refuse chez soi (« Il/elle est arrogant(e) » = je refuse ma propre valeur ou ma propre colère).

• La dépendance à l’approbation extérieure
  Besoin compulsif d’être validé, aimé, reconnu → difficulté à dire non, à poser des limites, à prendre des décisions souveraines.
• Le triangle dramatique (Persécuteur / Victime / Sauveur)
  On passe inconsciemment d’un rôle à l’autre dans les relations, ce qui crée des conflits répétitifs.
• L’évitement du ressenti corporel
  On vit dans la tête pour ne pas sentir la tristesse, la rage, la vulnérabilité stockées dans le corps.
• Le scénario de vie répétitif
  Toujours attirer les mêmes profils toxiques, les mêmes échecs, les mêmes situations où l’on se sent trahi, incompris ou écrasé.

• La confusion entre « besoins » et « stratégies »
  Croire qu’on a besoin qu’une personne précise nous aime, alors qu’on a juste besoin d’amour, de sécurité ou de reconnaissance.
• L’identification à l’ego / au masque social
  Croire qu’on EST son rôle, son image, ses réussites… et paniquer à l’idée de lâcher tout ça.

Ce qu’entrainent nos blessures d’enfance

• L’enfant qui se sentait invisible
  l’adulte qui se démène sans cesse pour être enfin vu.

• L’enfant dont les émotions gênaient tout le monde
  l’adulte qui ravale ses sentiments et n’ose plus les exprimer.

• L’enfant à qui l’on exigeait la perfection
  l’adulte qui s’épuise à courir après l’impossible et se juge impitoyablement.

• L’enfant constamment critiqué
  l’adulte convaincu de ne jamais être à la hauteur ni vraiment légitime.

• L’enfant qui marchait sur des œufs à la maison
  l’adulte qui s’excuse constamment d’être là.

• L’enfant qui a connu la trahison
  l’adulte pour qui faire confiance reste un combat permanent.

• L’enfant qui attendait qu’on vienne le sauver
  l’adulte qui passe sa vie à secourir les autres en s’oubliant lui-même.

• L’enfant chargé de porter ou calmer les émotions des adultes
  l’adulte qui capte et absorbe les humeurs de tout son entourage.

Ma devise 😉
« La réflexion sans action amène à la dépression ! ».

Mon principe de base qui m’a fait devenir coach et qui m’anime; ce sont les humains qui composent notre société, nos entreprises et notre pays qui doivent être pris en considération en premier lieu dans notre développement. Ce sont eux la seule et unique source de raison d’être de notre travail et de nos actions. Aider chacun d’entre nous à devenir meilleur et plus proche de ce qu’il souhaite pour sa vie et son entourage est pour moi une source d’énergie illimitée.

Mes coachings ont pour but de révéler nos talents, les libérer afin de créer l'avenir. C’est par ce biais que l’on permet à une personne de se développer et d’atteindre sa maturité de vie. C’est en aidant chacun à découvrir sa part de lumière en soi que nous améliorerons notre société.

Nous partons du présent pour se projeter dans l’avenir en action !

Vous trouverez, ci-dessous, la définition du coaching selon la Fédération International du Coaching (I.C.F.)